Sahra, la Carrie Bradshaw des Rêveurs vous présente la Gazette !

« Dans une société où les rêves peuvent être étouffé par le quotidien, devons-nous nous contenter de ce que l’on a ? » Voilà comment Carrie BRADSHAW pourrait commencer ou conclure une de ses chroniques dans le « New York Star ».

Oh oui, oui, vous lisez bien ! J’ose me prendre pour Carrie ! Trêve de plaisanterie, je m’appelle Sahra, j’ai 29 ans et grâce à Maëlle et La Rêverie, je suis à 2 doigts de réaliser un de mes rêves : être écrivaine. Il y a un peu plus d’un mois, Maëlle m’a proposé de rédiger la gazette du rêveur. Comment vous dire que je n’ai pas hésité une seule seconde : C’était OUI ! Tout d’abord parce que je rêvais de pouvoir à nouveau travailler avec elle mais c’était aussi l’occasion de pouvoir écrire.

J’ai déjà eu la chance de collaborer avec cette bête de meuf notamment à travers la danse. J’ai rencontré Maëlle il y a bientôt 11 ans (La vache je me rends compte en l’écrivant que ça fait un sacré bail !), nous étions ensemble en licence lettres & arts parcours danse. Depuis ce jour, nos chemins ne se sont jamais séparés ! J’ai pu la voir réaliser de nombreux rêves et elle a été présente lors de l’accomplissement des miens : être danseuse et chorégraphe, trouver l’amour de ma vie, mon mariage, devenir maman. Nous avons d’ailleurs vécu une grossesse en même temps et aujourd’hui nos enfants sont de super potes à la compote.

Aujourd’hui, au-delà d’être mon amie et la marraine de mon fils (le plus top c’est qu’ils se sont choisis !), Maëlle est un modèle, une source d’inspiration, elle accomplit ses rêves poussent les autres à vivre les leurs (j’en fais sacrément partie !). La voir développer La Rêverie m’encourage à rêver plus grand.

Donc oui, je n’ai pas hésité pour la gazette car enfin j’allais écrire ! Pour moi mais aussi pour des rêveurs, d’une certaine manière j’ose rêver que je vais contribuer à quelque chose de grand, cette merveilleuse aventure créée par Maëlle !

J’ai hâte de découvrir vos rêves accomplis, voir ce qu’ils vont faire naître en moi et ce qu’ils vont inspirer aux lecteurs.

Pour répondre à la fameuse question style Bradshaw, je dirais qu’on peut se contenter de ce que l’on a tout en laissant respirer nos rêves. Personnellement, c’est ce que j’ai décidé de faire : j’ai réalisé des rêves, j’en suis heureuse et fière mais je pense que nous sommes des sources intarissables de rêves…

Alors rêvons avec La Rêverie à nos côtés !

A bientôt dans la prochaine Gazette du Rêveur !